16 08 2001 à 22:17 |
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17 08 2001 à 07:33 |
Haha excellent, je me suis éclaté pendant 5 minutes sur le jeu de skate ! putain ca craint chuis au taf qd même ;) |
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17 08 2001 à 09:32 |
Youpi des jeux tout pourris! ;) Je sens que Ghuzmush va adorer... Lui qui ne jure que par FF2, 3 ou Sonic première génération. Sa console de prédilection : la Vectrex... Il a honte mais dès qu'il en voit une ils se sent plus... |
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17 08 2001 à 09:36 |
Je sais, il faut pas de "s" à il... C'était pour voir si vous suiviez... |
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17 08 2001 à 09:59 |
oh ! un petit bomberman ! génial ! |
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17 08 2001 à 10:09 |
exeeeeeleeeeeeent !!!! tro fort ! arf.. ;) |
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17 08 2001 à 10:14 |
Bon bah j'dois être le seul à pas aimer les jeux tout pourris... ;) |
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17 08 2001 à 10:16 |
centipede, froger, bubble bobble ! rha que du bonheur !! de la pire balle !! love love !! |
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17 08 2001 à 21:25 |
Vi, c bon. Ca me rappelle les merveilleux objets racontés sur http://emulation.france.free.fr http://emulation.france.free.fr VECTREX REWLZ DA OUEURLLLDDDE !!!! |
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17 08 2001 à 22:40 |
+h ;) Tant qu'à être nostalgiques... jsais pas pour vous, mais moi ça me fais du bien de lire ce genre de trucs dans un roman (in Bruce Sterling, Les Mailles du réseau), ça donne une noblesse à la chose : "La console de jeux vidéo était à peu près aussi intelligente qu’un multiphone de gosse. On introduisait les jeux dans l’appareil, sous la forme de petites cassettes à ressort, usées par d’interminables parties. Les graphismes étaient rudimentaires, avec de gros pixels en marche d’escalier, et le rafraîchissement d’image était bien visible, sautillant et victorien. L’aspect rudimentaire ne la gênait pas ; les thèmes en revanche étaient incroyables. L’un des jeux était baptisé « Missile Command ». Le joueur contrôlait des petites tâches sur l’écran, censées représenter des cités. L’ordinateur attaquait celles-ci avec tout un arsenal nucléaire : bombes, avions à réaction, missiles balistiques. La machine gagnait toujours, annihilant toute vie dans un grand éclair éblouissant. Des enfants avaient autrefois joué à ça. C’était parfaitement morbide. Il y avait cet autre, aussi, intitulé « Envahisseurs de l’espace ». Les envahisseurs étaient des espèces de petits crabes et de démons géométriques, des sortes d’ovnis venus d’une autre planète. Figurines déshumanisées qui défilaient sur l’écran au pas de l’oie. Et qui gagnaient toujours. Vous pouviez les massacrer par centaines, même gagner quelques nouveaux forts pour leur tirer dessus — à coups de faisceaux laser ? de bombes ? —, vous finissiez toujours par mourir au bout du compte. L’ordinateur gagnait toujours. C’était tellement absurde — laisser la machine gagner à chaque coup, comme si des circuits électroniques pouvaient prendre plaisir à gagner. Et chaque effort, si héroïque fût-il, finissait toujours en Armaguedon. Tout cela était complètement surnaturel, tellement xxe siècle. Il y avait un troisième jeu qui faisait intervenir une espèce de petit consommateur jaune et rond — le personnage était censé dévorer tout ce qui était en vue, y compris parfois les petits ennemis bleus lancés à sa poursuite. En général, c’était à celui-là qu’elle jouait, en choisissant le niveau de violence le moins agressif. Ces jeux ne la passionnait pas vraiment, mais à mesure que se succédaient les quarts et leur interminable manège d’heures creuses, elle en découvrait peu à peu la fascination obsédante… cette insouciante insistance à rompre tout lien avec la raison qui était la marque du prémillénaire. Elle y jouait à en avoir des ampoules aux mains." (Bon désolé, c un peu long... j'ai pas eu le coeur de couper... m'en voulez pas hein dites...? recommencerai plus, promis ) |
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17 08 2001 à 22:43 |
Euh.. (c vraiment un foirage complet, cette fois...) comme vous l'aurez compris, 8212 = tiret d'un cadratin, 8217 = apostrophe... Bon, j'ai trop honte, je vais me cacher |
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17 08 2001 à 23:55 |
lol c'est pas ta faute si gwan ne nous sert pas un code parfait ;) |
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18 08 2001 à 00:20 |
Tu me diras, jme demande bien quel genre de codage utilise Word... pour que ça fasse des apostrophes zarbis... |
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18 08 2001 à 07:29 |
J'ai une autre adresse dans le genre : http://www.chasseurdebots.com/ http://www.chasseurdebots.com/ C'est un roman à plusieurs mains sur l'univers impitoyable du Quake. Ca vaut le détour... (j'ai trouvé le lien sur laspirale.org) |
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11 09 2001 à 16:28 |
"La console de jeux vidéo était à peu près aussi intelligente qu'un multiphone de gosse. On introduisait les jeux dans l'appareil, sous la forme de petites cassettes à ressort, usées par d'interminables parties. Les graphismes étaient rudimentaires, avec de gros pixels en marche d'escalier, et le rafraîchissement d'image était bien visible, sautillant et victorien. L'aspect rudimentaire ne la gênait pas ; les thèmes en revanche étaient incroyables. L'un des jeux était baptisé « Missile Command ». Le joueur contrôlait des petites tâches sur l'écran, censées représenter des cités. L'ordinateur attaquait celles-ci avec tout un arsenal nucléaire : bombes, avions à réaction, missiles balistiques. La machine gagnait toujours, annihilant toute vie dans un grand éclair éblouissant. Des enfants avaient autrefois joué à ça. C'était parfaitement morbide. Il y avait cet autre, aussi, intitulé « Envahisseurs de l'espace ». Les envahisseurs étaient des espèces de petits crabes et de démons géométriques, des sortes d'ovnis venus d'une autre planète. Figurines déshumanisées qui défilaient sur l'écran au pas de l'oie. Et qui gagnaient toujours. Vous pouviez les massacrer par centaines, même gagner quelques nouveaux forts pour leur tirer dessus à coups de faisceaux laser ? de bombes ? , vous finissiez toujours par mourir au bout du compte. L'ordinateur gagnait toujours. C'était tellement absurde laisser la machine gagner à chaque coup, comme si des circuits électroniques pouvaient prendre plaisir à gagner. Et chaque effort, si héroïque fût-il, finissait toujours en Armaguedon. Tout cela était complètement surnaturel, tellement xxe siècle. Il y avait un troisième jeu qui faisait intervenir une espèce de petit consommateur jaune et rond le personnage était censé dévorer tout ce qui était en vue, y compris parfois les petits ennemis bleus lancés à sa poursuite. En général, c'était à celui-là qu'elle jouait, en choisissant le niveau de violence le moins agressif. Ces jeux ne la passionnait pas vraiment, mais à mesure que se succédaient les quarts et leur interminable manège d'heures creuses, elle en découvrait peu à peu la fascination obsédante cette insouciante insistance à rompre tout lien avec la raison qui était la marque du prémillénaire. Elle y jouait à en avoir des ampoules aux mains." source : Ghuzmush fascinant ^^ |
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